DéCOUVRIR

Chaque mercredi et samedi après-midi, les jeunes pratiquants sont accueillis à la base nautique du Moulin de Douvres par nos deux professionnels et leurs moniteurs. Répartis par groupes de niveaux, ils vont découvrir l’activité, se familiariser avec les différentes embarcations et bien sûr découvrir le milieu naturel si riche à deux pas d’où ils habitent.

A l’école de pagaie, on y apprend que pagayer, c’est ramer avec une pagaie…

Pour les débutants, il faut bien sûr savoir nager. Ceux-ci seront intégrés dans le groupe « première année ». Dès qu’ils se sentiront à l’aise sur l’eau, ils pourront participer aux animations du Challenge Avenir proposé par le Comité Régional. Des rendez-vous sur le week-end  pour appréhender de manière ludique, les premiers challenges.

 

se perfectionner

En deuxième année, les fondamentaux techniques, de sécurité et environnementaux vont se préciser. Deux groupes leur seront alors proposés. Pour ceux qui veulent s’adonner à la compétition, ils pourront commencer à s’entraîner pour le Challenge Espoirs, un challenge régional porté par le Comité Régional.

Jetez un coup d’oeil au classement ci dessous, vous aurez une idée de l’implication des jeunes du TCK et de l’équipe d’encadrement.

« Rétines et pupilles. Les garçons et les filles ont  les yeux qui brillent. Pour un jeu de dupes : voir sous les jupes des kayakistes » Alain Souchon

Le kayak est un vrai sport égalitaire, ici tout le monde porte des jupes… Et en deuxième année, pour ceux qui ne souhaitent pas participer à des compétitions, ils  pourront intégrer le groupe « loisirs jeunes » où ils  accéderont à d’autres activités avec bien sûr les mêmes fondamentaux pour être à l’aise sur l’eau.

TRANSMETTRE

La rivière offre un environnement merveilleux, mais il faut bien la connaître pour s’y aventurer  en toute sécurité. C’est ce savoir qui se transmet depuis toujours entre les générations d’un même club, et qui fait partie des gènes de tout kayakiste.

Le passeur est celui qui sait qu’il est second, et non premier.

Il sait également qu’il n’est pas le dernier et qu’il doit transmettre.

grandir

Qu’on soit une fille ou un garçon, on peut démarrer très jeune l’école de pagaie dans un club. Et un club, ce n’est pas seulement un lieu de pratique, c’est aussi une grande maison où l’on a plaisir à se retrouver, pour entretenir ou réparer son bateau, pour prolonger un goûter chaud en hiver, préparer le matériel pour un stage ou une compétition. En fait, un club de kayak, c’est une maison où on grandit…

expérimenter

Les jeunes qui arrivent au club vont pouvoir expérimenter des terrains de jeux très différents, des disciplines très variées qui leur permettront de choisir un peu plus tard leur bateau de prédilection. Ou aussi de continuer à ne pas faire de choix afin de tout expérimenter. Même rapporter son HellyHansen sécher à la maison…

 

partager

Le partage n’exclut pas la confrontation. Mais l’ambivalence de ce sport fait qu’il peut être à la fois un sport individuel et un sport d’équipe, en compétition. Comme en athlétisme avec le sprint et le relais. Mais sur la descente d’une rivière, chacun sait qu’il peut compter sur l’autre, car une rivière on la partage…

« Il vaut mieux partager une expérience, plutôt qu’une addition. »

JOUER

Dans tous les sports, jouer est essentiel. Si la Marne est un terrain de jeu essentiel grâce aux exercices ludiques proposés par les entraîneurs, il est bien sûr un lieu et un jour particulier pour le jeu, c’est le jeudi soir à la piscine de l’Arche-Guédon à 19h que le bassin se transforme en terrain de kayak-polo. Ou comment ne plus penser à l’équilibre grâce au ballon.

 

ESQUIMAUTER

Le créneau de piscine permet l’hiver quand la température est en dessous de zéro, de continuer à se retrouver. Et de poursuivre les leçons d’esquimautage dans le petit bassin avec une eau à une température clémente. Il s’agit d’apprendre à retourner son bateau quand celui-ci a chaviré , sans en sortir, avec uniquement un appui sur sa pagaie et l’étanchéité de sa jupe.

BORDERCROSS